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Ateneo Republicano du Limousin
6 mars 2009

Juan Negrin

Avant les journées des 27 et 28 mars 2009

en attendant la venue de Carmen Negrin voici une présentation de son grand-père: ( Wikipédia)

Juan Negrín

Juan_Negrin

(Las Palmas de Gran Canaria, 3 février 1892 - Paris, 12 novembre 1956) est un physiologue et homme politique espagnol. De 1937 à 1945, il fut chef du gouvernement de la Seconde République espagnole, puis du gouvernement en exil.

Biographie:

Professeur de physiologie à l'université, et chercheur de renom dans cette même discipline, Juan Negrín est considéré comme un des précurseurs de la biochimie. Il eut entre autres pour élèves Severo Ochoa (seul lauréat espagnol du prix Nobel de physiologie ou médecine) et Grande Covián. De 1937 à 1945, il fut chef du gouvernement de la Seconde République espagnole.

En septembre 1936, il est nommé ministre des Finances dans le gouvernement de Largo Caballero. Membre du PSOE, après la démission de Largo Caballero le 17 mai 1937, le président de la République Manuel Azaña le nomme premier ministre, avec l'espoir de renforcer son autorité face aux syndicats et aux anarchistes, en s'alliant avec la bourgeoisie et les classes moyennes, mettant ainsi fin au mouvement révolutionnaire et mettant en place une véritable économie de guerre. Tout cela avec l'intention de placer la guerre civile espagnole dans le cadre d'un conflit européen de plus grande ampleur qui lui semblait imminent, même si les accords de Munich avaient fait s'évanouir définitivement toute espérance d'aide extérieure.
Il convainquit Azaña en permettant le transfert d'une partie du Trésor de la Banque d'Espagne à Moscou afin de payer les équipements militaires que la République devait acheter à l'Union soviétique, qui exigeait d'être payée d'avance. Cette mesure était la seule alternative possible au refus des puissances démocratiques de vendre des armes à l'Espagne, refus qui reposait sur un Pacte de non agression dont l'Allemagne et l'Italie, assez paradoxalement, était également signataires tout en soutenant activement les nationalistes espagnols.

Sur le plan militaire, il lança une série d'offensives qui connurent un médiocre succès (batailles de Brunete, Belchite, Teruel et de l'Èbre. Juste avant la chute de la Catalogne, il proposa lors de la réunion du gouvernement à Figueres la reddition avec pour seule condition la vie sauve pour les vaincus, mais ne parvenant pas à trouver un accord il se rendit dans le centre de l'Espagne en février 1939 avec pour objectif de mettre en œuvre l'évacuation avec le même succès qu'il avait obtenu en Catalogne, mais la rébellion de Segismundo Casado rendit l'exécution de ce plan impossible.

Il fut président du gouvernement en exil de la République jusqu'en 1945, et organisa le service d'aide aux rapatriés.

 

La última palabra de Juan Negrín

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Quant à Carmen, sa petite fille:

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"EN ESPAÑA NO HABRÁ RECONCILIACIÓN HASTA QUE NO SE CONOZCA LA HISTORIA"

Información.es/ alicante / CRISTINA MARTÍNEZ/22-05-2008

Habita la casa en la que su abuelo vivió en el exilio en París y desde niña siempre quiso conseguir que su figura se respetase. Por eso, cree que "no habrá reconciliación en España hasta que no se conozca la historia".

Carmen Negrín, nieta del último presidente de la República en España, clausuró ayer un ciclo sobre este político en Alicante.
Hace seis años se prejubiló de su puesto en la UNESCO para dedicarse a recuperar la memoria de su abuelo, Juan Negrín, fisiólogo y presidente de la II República entre 1937 y 1945, ya en el exilio. Por eso Carmen Negrín ha recuperado sus archivos, que espera poder depositar en España -"que es donde deben estar"- y confía en conseguir que poco a poco se reconozca "el papel que tuvo
para que se respetase la República a nivel internacional y eso es algo que se le debe". Carmen Negrín, que clausuró ayer el ciclo sobre este político que se ha desarrollado en la Sede Ciudad de la Universidad de Alicante, confía en que sacar a la luz los archivos "aportará luz sobre muchas de sus actuaciones", que le valieron críticas de sus enemigos, pero también de sus supuestos amigos. Además, considera que "hay alguna diferencia entre Zapatero y González, son diferentes formas de leer la historia".
Por eso, afirma que "es muy importante que los países fomenten el estudio de la historia porque eso evitaría que se repitieran algunos hechos".

En este sentido, apoya la ley de la Memoria Histórica, que "desafortunadamente" es necesaria, porque "en España no habrá reconciliación posible hasta que no se conozca y se entienda la historia".


Lire aussi les articles avec les liens ci dessous:

http://www.publico.es/espana/204640/pais/unico/arrepiente/fascismo

http://www.psoe.es/ambito/izquierdasocialista/docs/index.do?action=View&id=263408


Discurso de Carmen Negrín con ocasión de la inauguración de la Exposición Juan Negrín - Médico y Jefe de Gobierno 1892-1956

(Madrid - 27 de septiembre de 2006)

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